[...] Le lama doit refermer le temple, j'apprends qu'il ne l'a ouvert que pour moi. C'est une situation étrange, comme l'évidence d'un passage attendu. Mon regard prudent reste interrogateur, le sien est paisible, un sourire se dessine sous sa mine faussement austère. Nous nous quittons d’une simple et franche poignée de main.
Chine-Le monastère de Labrang
21 août 2005
Rédigé par Jean-Loup Fournier - Aucun commentaire