[...] Piteusement, je traverse à nouveau Zharkent, agréable étape d’hier soir avant ma tentative d’entrée en Chine par Korgas. Le charme est rompu. De la jolie bourgade il ne reste que des trottoirs ensablés et des routes crevassées où errent des chiens jaunes et haineux. Selon le contexte et les sentiments éprouvés, les couleurs du monde changent. C’est plus que jamais vrai.
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